• Écriture

    Il y a longtemps que je n'ai pas écrit.

    Pour être honnête, ça me manque.

    Je ne sais pas vraiment comment faire en sorte de reprendre cet art qui me fascine.

    Je me suis dit qu'ici, je pourrais regrouper plein d'écrits divers et variés.

    Et qui sait, peut être que remplir cette rubrique sera une motivation suffisante.

    <3

  • Une fois, en écoutant une chanson de Billie Eilish, je me suis retrouvée emportée au fond de ma mémoire.

    Je revivais un moment qui m'avait marqué par sa normalité.

    Je me suis dit "tiens, et si je mettais sur papier certains des sentiments, des souvenirs, des images que ces musiques créent en moi? 

    Et c'est ainsi que ce concept est né.

    Je laisse l'inspiration venir à moi, j'écoute tout le temps de la musique, dès que les mots me viennent, je les noterai sur papier, et les partagerai avec vous!;

    Vous pourrez juger mon écriture et mon goût musical en même temps! Si ce n'est pas beau!

    Vous trouverez ma playlist spotify dans le menu à gauche. Les chansons y seront sûrement.

     

    Chansons :

    -EUPHONIK - Tout Va Bien Je Vais Mal

    -Angus and Julia Stone - Santa Monica Dream


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  • J'aimerais partager avec vous, un des seuls écrits que j'ai gardé de mon adolescence. Je ne sais plus quand je l'ai écrit, mais il m'avait plu, je ne l'ai pas relu depuis, il est sûrement plein de lacunes, mais je vous le partage quand même. Qui sait, peut-être que ce geste me poussera à écrire à nouveau?

     

     

     

    Eptà

     

    Il est des choses censées, que l’on ne fait pas ; par peur des conséquences.

    Il est des choses ignobles, qu’on fait ; par amour.

    Et si pour une fois, les histoires d’amour, commençaient par une chose qui n’a pas été faite par amour ?

    Et si, pour une fois, les histoires de vengeance, commençaient par une chose qui a été faite par haine ?

    Et si, ces histoires se recoupaient, pour ne donner lieu, qu’à une seule, et magnifique épopée, mêlant amour, haine, peur, vengeance… que des sentiments dévastateurs en somme…

    Son nom était Ezéchiel, il avait 26 ans, il vivait dans une grande ville, fréquentait un nombre raisonnable de personnes, avait une famille qui avait, ses bons, et ses mauvais côtés, et faisait tout un tas d’études.

    Son nom était Ellen, elle avait 22 ans, à l’instar de son homologue masculin, elle vivait dans une grande ville, fréquentait un nombre raisonnable de personnes et avait une famille qui avait, ses bons, et ses mauvais côtés, et fréquentait l’université.

    L’histoire ne serait pas intrigante, si elle se résumait à une rencontre, un dîner ou deux, un quiprocos, une réconciliation, un plus gros problème, puis le dénouement final.

    L’histoire n’est intéressante, que s’il y a des enjeux, autre que l’histoire de leur amour.

    Le monde veut du sensationnel, il veut des larmes, des rires, de l’émotion. Et malheureusement, il ne se contente plus des histoires banales d’amour.

    Plusieurs raisons sont de mises, en voici deux :

    La première : il y en a beaucoup trop, l’humain n’a que trop puisé dans l’imaginaire collectif, et pas assez dans l’individuel, ce qui a fini par lasser.

    La deuxième : l’humain est par nature envieux, l’un des sept coule dans les veines de chacun d’entre eux, à des degrés différents, cela étant, en voyant une histoire d’amour aussi banale, le lecteur se dit « mais pourquoi pas moi ? » alors que lorsqu’à cette histoire, on mêle occulte, paranormal, vampires démons etc… le lecteur ne se dit plus rien, certes, il est des fois où il veut devenir une de ces créatures, ou un de ces êtres, capables d’entrer en communion avec le royaume des mort. Ou même, dans de rares cas, être la victime d’un accident, qui aurait changé le cours de sa vie.

    Quoi qu’il en soit, ceci expliqué, il nous faut une touche d’invraisemblable, quelque chose qui flatte la cornée du lecteur avide de sensations fortes, tout en ne dépassant pas la censure, imposées aux œuvres qui plongent un peu trop dans l’univers qu’elles dépeignent.

    Que donnerons-nous à nos protagonistes ?

    Un vampire et un chasseur ?

    Une nymphe envoyée chez les hommes pour les sauver d’une attaque imminente ?

    Un kidnapping, car untel est le descendant d’une énième famille mafieuse ?

    Comme les vampires fascinent, il est de notre devoir d’en parler, ne serait-ce que de les évoquer, en disant, par exemple, qu’Ezéchiel a un comportement bizarre à la vue du sang. Ou qu’Ellen est particulièrement sensible aux rayons du soleil. Ceci, bien entendu, au tout début de l’histoire, afin de faire baver le lecteur, qui, tout génie qu’il est, se dira qu’il sait déjà tout ce qu’il va se passer dans l’histoire, oui Ezéchiel est un vampire, Ellen l’humaine amoureuse, les autres vampires vont se battre pour boire son sang, et Ezéchiel, en bon vampire végétarien qu’il est, d’ailleurs il faudrait expliquer ce concept de vampire végétarien qui boit le sang des animaux, va venir à son secours, elle va ensuite lui demander de la transformer, mais lui refusant la souffrance d’une vie éternelle, de pouvoirs infinis, de sa résistance au soleil, il ne va pas se décider de le faire avant 5 tomes.  Faisant alors languir les lecteurs, qui, même s’ils se rendent compte qu’ils ne lisent que ce qu’ils s’attendaient à lire, vont continuer, apprendre par cœur les noms, s’attacher aux personnages secondaires, pour finir ensuite par être déçus, à la fin de chaque tome, qu’Ellen ne se soit pas transformée. Mais, bien évidemment, cela ne les empêche pas de continuer à lire et d’attendre la suite !

    Mais comme nous sommes magnanimes envers les lecteurs, nous allons leur offrir quelque chose de différent, d’extraordinaire, quelque chose qu’ils n’ont jamais lu, ou bien, qu’ils n’ont jamais pensé vouloir lire.

    Personne ne vous conseillera un livre en vous disant « il est tellement banal que j’ai adoré » cela vas de soi.

    Ce livre aura la prétention de prouver le contraire.

    Ezéchiel n’est qu’un simple étudiant, qui rencontrera Ellen dans une fête foraine. Ce ne fut pas l’amour au premier regard, et ils ne se haïrent pas non plus, ils furent présentés l’un à l’autre par leurs amis respectifs, et continuèrent tranquillement leur soirée.

    Ellen gagna seule sa peluche, mais Ezéchiel lui offrit bien de la barbe à papa.

    Ils se retrouvèrent quelques jours plus tard, non sans avoir au préalable discuté par internet, et ce ne sera pas non plus à un cours qu’ils partageraient miraculeusement.

    Ce sera à une sortie entre amis, ils iront voir un film qui est sorti il y a quelques temps.

    Ils partageront une portion de pop-corn, et s’en jetterons même à la figure lorsqu’Ezéchiel aura fait remarquer que ce chinois prenait beaucoup de photos quand même…

    Ils se verraient enfin seuls, le chat d’Ellen ne sera pas malade, elle n’en a pas, ils se sont retrouvés au supermarché, oui, comme par hasard, les hasards peuvent être vraisemblables des fois.

    Marchant ensemble, ils auraient continué leur discussion internet, mais en vrai, à propos de ce qu’ils aiment faire, ils échangeront des points de vue, débattront de sujets sur lesquels ils ne sont pas d’accord, et découvriront les mauvais traits de caractère l’un de l’autre.

    Puis ils échangeront leur premier baiser, comme ça, sans prévenir, ils ne savaient pas que ça allait se passer.

    Il n’y aurait eu, aucune tension entre eux, avant ce simple échange, doux, évident.

    Ils ne seraient pas au bord de la plage, ils ne seraient pas en train de jouer de laguitare, ni dans une fête quelconque.

    Ils seraient simplement sortis dans un parc, parce que la journée aurait été belle.

    Encore que là, leur définition de la beauté, était bien différente de celle des autres. Et puisque la beauté est subjective, à quoi cela servirait-il de décrire cette journée ? Ou même de les décrire eux ?

    Ils commenceraient à sortir ensemble, commençant leur longue descente aux enfers.

    Le début est magnifique, la vie semble enfin leur offrir ce qu’ils désiraient sans le savoir.

    Ils se voient tous les jours, ou presque. Ne s’envoient plus que des mots d’amour.

    Arrêtent de débattre pour se focaliser sur leur intarissable amour.

    Pour ensuite se rendre compte qu’ils s’oubliaient.

    Là, un choix s’offre à eux.

    Faire la chose par amour.

    Ou ne pas la faire, par peur des conséquences.

    Lequel des deux aura le courage de parler à sa moitié.

    De lui dire en face que rien ne va.

    Qu’ils ne sont plus que l’ombre d’eux même.

    Qui le fera ?

    Ezéchiel ou Ellen ?

    Cette question demeurera sans réponse.

    Mais le fait est qu’ils ont finalement décidé de faire les choses, par amour.

    Et pour une fois, la chose n’est pas ignoble, elle est noble.

    Ils en ont discuté, en sont arrivés à une conclusion, et se sont séparés.

    Ils ont repris leur vie d’avant, essayant de faire fi de ce vide en eux.

    Ils sont allés à la fête foraine, chacun de son côté.

    Sont partis voir le film qui vient de sortir, chacun de son côté.

    Ils sont allés au supermarché, chacun de son côté.

    Et ainsi allait la vie, pendant des années.

    Leur vide ne se remplissait pas pour autant.

    Mais ce qui avait détruit leur couple s’en allait peu à peu.

    Jusqu’à ce qu’ils se rencontrent à nouveau.

    Et là, le vide se refait sentir.

    Ils décident pourtant de ne pas retomber dans leur amour aussi vite.

    Ils tâtent le terrain, voient si le champ est libre à une nouvelle histoire.

    Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que ce n’est pas une nouvelle histoire. C’est toujours la leur.

    Celle d’Ezéchiel et d’Ellen.

    Le premier tome était juste finit, une petite nouvelle afin d’introduire le second, et dernier tome.

    Celui des retrouvailles, celui des descriptions, celui de l’amour passionnel qui a lieu d’être.

    Ce deuxième tome, sera empli d’images, les mots formeront dans les esprits, de vraies scènes, où l’on pourra se voir.

    Car ce qui n’avait pas été expliqué dans le premier, c’est que ce dernier ne décrivait rien. Ni Ezéchiel, ni Ellen, ni leur entourage, ni les lieux. De façon à ce que le lecteur puisse s’y projeter.

    Maintenant que c’est fait. Que le croquis est dessiné, il faut y mettre de la couleur.

    Telle est la mission de cet ultime tome.

    Donner la couleur de cette histoire.

    Sortons un peu de l’histoire d’Ezéchiel et Ellen, et penchons-nous un peu sur les mots que vos yeux sont en train de dévorer.

    Ces pages ne sont pas là pour vous raconter la fin de l’histoire de nos deux protagonistes.

    Nous en connaissons le début seulement, mais les futurs enjeux, et surtout, le dénouement, est, et sera à jamais du domaine de leur intimité.

    Peut-être que ce sont dans ces pages blanches à la fin des livres, que l’on apprend en fait que l’un des personnages a été adopté, et qu’il est le descendant d’une meute de loup.

    Ces pages, si elles ne servent pas à cela, servent à faire connaitre un groupe d’écriture dont je fais partie.

    L’histoire, dont vous avez brièvement eu un aperçu, n’est banale, que parce que nous le voulons, et il n’en tient qu’à nous de décider de placer la virgule ou non.

    Dans notre bibliothèque, il existe des centaines de genre différents, et ces genres regroupent à leur tour, des milliers d’histoires différentes.

    Et ce que ne savent pas les lecteurs de ces histoires, c’est que tous les personnages existent quelque part. Et seul nous, les écrivains, pouvons les voir, et leur faire, par exemple, changer de coupe de cheveux, ou le faire tuer un homme.

    Vous lisez là, les archives, de la bibliothèque Eptà, et si vous vous demandez d’où vient ce nom, encore une fois, il n’est que de notre ressort de le changer.

    Et si vous les lisez, prenez grand soin des mots que vous y trouverez.

    Ceux d’en haut ne sont qu’un aperçu de ce que nos écrivains peuvent accomplir.

    Et si vous décidez de franchir le pas, et de lire les autres histoires.

    Il n’en tiendra qu’à vous de

     

     

    Bletmir

     

    Bletmir a décidé de donner aux lecteurs le droit de choisir le dernier mot de sa phrase. Bien que ce ne soit pas réglementaire, nous l’avons laissé passer pour cette fois.

     


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  • Oui, il est tard, comme d'habitude. 

    J'ai du mal à écrire mon mémoire, mais je me suis dit : "Hey, et si tu l'écrivais en le postant sur le blog? ça te donnera peut être envie de continuer?"

    Alors oui, je sais je n'ai pas non plus tant écrit que ça sur le blog, mais bon, on verra bien si ça fonctionne!

    Il y aura donc ici, au fur et à mesure les différentes parties de mon mémoire, je ne sais pas encore comment je vais découper la chose mais on verra.

    Déjà le premier lien ce sera juste l'explication de ce que ce sera, mes idées, mon but avec ces recherches etc.

    Ensuite, comme on dit par chez moi : Tban

     

    Avancée


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  • Douce nuit

    Merci de me protéger

    De me couvrir de tes étoiles

    De m'apaiser

    Merci d'être à mes côtés, toi et ton calme indéfectible

    Toi et tes bruits,

    Tes chats, tous gris.

    Tu es celle en qui j'aime vivre.

    Quoi que je fasses, je ne peux empêcher mon être de s'éveiller à ton contact.

    Ô que j'aime le jour,

    La chaleur de son soleil.

    Et le boucan de ses rires.

    Mais Ciel! que je suis émerveillée par toi.


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  • si je ne te prie pas comme tu voudrais que je le fasse.

    Ou du moins, comme tes partisans voudraient que je le fasse.

    Moi je te prie chaque seconde de ma vie.

    Quand je sens mon cœur battre dans ma poitrine.

    Quand j'entends ceux de mes êtres aimés.

    Quand j'écoute une voix cristalline qui me fait frissonner.

    Quand, par un matin d'hiver, je sens le vent sur mes joues.

    A mesure que j'avance dans la pénombre pour rejoindre l'université.

    Quand d'un regard, il fait battre mon cœur

    Alors là, je te prie deux fois plus.

    Tu es partout

    Dans l'herbe, dans la rosée.

    Dans cette coccinelle qui sur mon épaule s'est posée.

    Dans cette peinture vieille de cent ans.

    Dans cette sensation d'euphorie lorsque l'alcool entre dans mon sang.

    Tu es l'eau, le feu, la terre et l'air.

    Tu es les montagnes, les nuages, les oiseaux et la mer.

    Tu es chaque délice de la vie, chaque supplice aussi.

    Tu es chacune des personnes que j'ai rencontré

    Au recoin de chacune de mes épopées.


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